Happy few ??

Avant on aimait bien les ventes privées. On se pointait, on trouvait des trucs jolis pas chers dans des maisons de plus ou moins grande renommée. On rentrait chez soi heureuse d'avoir dépensé un peu, parfois beaucoup, mais pour tant de ptits hauts mignons...
Maintenant, on fait la queue 25 minutes dans la rue. On se bat avec 30 000 furies pour une des 25 000 robes toutes identiques, fabriquées pour l'occasion, et on se rend compte qu'il y a au bas mot 30 minutes de queue, encore, pour payer le maigre larcin.
Les ventes privées, comme le site du même nom, n'ont plus grand chose de privé, et tout le monde le sait. Et pourtant, elles continuent d'attirer le chaland, comme si vraiment, il croyait qu'elles lui sont réservées, rien qu'à lui, ces ventes. Sont forts ces marketeux... Mais ils m'auront plus !

Comments

[claire (d'habitude silencieuse)]

Moi aussi je me suis laissée séduire par ces ventes... et c'est vrai qu'elles n'ont désormais plus de privé que le nom !

Je vois que tu as mis le livre de Ron dans tes lectures... Moi je l'achète ce soir ! j'ai hâte !