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Comments

yop

j'aime bien cette photo, la pâte dentifrice rayée qui sort du tube et se pose sur la glace, on dirait qu’elle fait des pointes … Une brosse à dents, recouverte de pâte, prête à l’emploi.
Dans quelques instants, j’imagine le cirque infernal dans les recoins de la bouche, grattage des mandibules, bulles et gargouillis…
Une curieuse histoire de rencontre improbable, et pourtant.
Mais, ce n’était vraiment le sujet de ton papier ?

joséphine

Ben si si, Yop, c'était exactement ça, le sujet !! enfin, à peu de choses près [encore un nouveau prysme, cool]

Monsieur Jean

[petit coup d'oeil discret au milieu - enfin, j'espère pas - d'une journée un peu speed, commentaire rapide le coin de l'oeil fixé sur la porte...]

En voyant cette photo, là, je ne peux pas m'empêcher à un
billet totalement ésotérique de Mlle B. à propos de sa brosse à dent (j'ai mis un peu de temps à comprendre de quoi il s'agissait).

Association d'idée farfelue à la suite d'une photo aussi improbable que jolie...

joséphine

Ah oui en effet, j'avais pas trouvé moi...

prixdeflore2006

Le côté "deux en un", peut-être ?
Avec l'effet rafraîchissant...

Christie

en fait.. je ne sais pas si tu as lu Les heures de Michael Cunningham.. l'une des nénettes du livre, Clarissa, pense tout le temps au baiser échangé avec Peter (je crois que c'est Peter, ou Richard) bref elle avait adoré ce baiser car il raisonnait comme une promesse
et cette promesse, ce fut le meilleur de leur relation (qui après est partie en couille)

j'aime bien cette époque de la promesse, même si, comme une conne, j'ai tendance à toujours fuir le bonheur de peur qu'il se sauve

p'tain les références de mon commentaire..

joséphine

Souvent je me dis en effet que le meilleur c'est l'attente, les débuts, les promesses. L'inconnu. Mais ça ne dure qu'un temps, forcément. Après, il faut retirer autre chose. Pas forcément moins bien.

yop

Comme disait George Clémenceau, "Le meilleur moment de l'amour, c'est quand on monte l'escalier"

Marie

Je ne dois pas être normale, alors, parce que moi, ce que j'aime, c'est ce qui se passe après le "Ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants" (d'où énorme frustration enfantine à la fin de la plupart des contes de fées - Bettelheim, au secours!)

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